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Carnets pratiques

CARTE ZONES

Novembre au jardin

Les travaux au jardin verger


Prévenez l'alternance


La production d'un arbre fruitier peut alterner une année sur deux, offrant tantôt beaucoup de fruit, tantôt très peu, voire pas du tout... On rencontre ce phénomène d'alternance chez certains pommiers, poiriers et chez les pruniers 'Reine-Claude' en particulier. On explique ce phénomène par le fait qu'après avoir produit en abondance, les arbres se mettent au repos pour reconstituer leurs réserves. Il est évident que si un amateur peut accepter de se passer de tel ou tel fruit une année sur deux, il n'en vas pas de même pour un producteur... Mais si vous constatez ce phénomène, vous pouvez essayer de le réguler, à défaut de le supprimer.

Tout d'abord fertiliser régulièrement l'arbre, tant au niveau du sol, en fin d'hiver, que de son feuillage au moyen d'engrais foliaire à pulvériser, du printemps à l'été.

Ensuite éclaircissez fortement le surplus de fruits les années de grosse production. Dès que la chute naturelle des fruits mal fécondés s'est produite (en juin), supprimez tous les fruits qui ont une taille inférieure à la moyenne. Cela se voit dès le mois de juillet, aussi bien sur les pommiers que les pruniers. Certaines années, il ne faut pas hésiter à supprimer plus de la moitié des fruits : non seulement on évite l'alternance négative l'année suivante, mais les fruits conservés grossissent normalement (au lieu de récolter une multitude de fruits minuscules).

  






RÉCOLTEZ

les dernières pommes et poires. Entreposez-les soigneusement dans votre fruitier. Récoltez aussi les coings, les kiwis et les châtaignes.

COMMENCEZ

les plantations d'arbres à racines nues. Préparez les trous et les supports de palissage.

VISITEZ

les foires aux plantes de votre région et commandez vos arbres sans tarder.

TRAITEZ

tous les arbres à la bouillie bordelaise (20g/L) au moment où ils auront perdu la moitié de leurs feuilles.

TAILLEZ

groseillers et framboisiers.

RÉCOLTEZ

des boutures de groseilliers à l'occasion de la taille.

PLANTEZ

c'est le mois idéal pour planter les arbres à racines nues. Sinon commandez-les et préparez les trous de plantation et le matériel nécessaire : tuteurs, colliers, engrais...


Pas de paillis en hiver !


Pailler en été, c'est bien, mais ôter le paillage en automne, c'est mieux ! Vous éviterez ainsi que l'arbre ne produise trop de racines en surface. En effet, si vous laissez le paillis se décomposer, vous favorisez l'émission de racines superficielles au détriment de celles qui vont puiser en profondeur. Certes, elles sont utiles, mais en cas de sécheresse prolongée, c'est la déshydratation totale. D'autre part, en hiver, le paillis risque d'attirer mulots et campagnols, sans compter les larves de tous les vers qui ont passé l'été dans vos fruits. Aussi, prenez votre griffe et mettez la terre à nu pour déranger tout ce petit monde, et compostez les vieux paillages : au printemps, vous aurez un bon terreau à offrir à vos arbres !

Les prunes-œufs


Sont rangées sous ce nom les grosses prunes oblongues dont la forme ovale et la taille rappellent celles d'un œuf.

Côté couleur, vous avez le choix : il y a bien sûr les quetsches 'D'Alsace', 'D'Italie', 'De Letricourt', 'Président' et la désormais classique 'Stanley', également de belle couleur violette, qui peut avoir un bon calibre s'il n'y a pas trop de fruits sur l'arbre. Vous pouvez trouver 'Coe's Golden Drop', jaune comme le suggère son nom et ponctuée de rouge, et surtout 'Thames Cross', une magnifique prune jaune et rose, de saveur très douce, bien sucrée. Citons encore la prune 'Bonjour', aux énormes fruits bleus. Toutes mûrissent assez tardivement, c'est-à-dire qu'on ne les récolte guère avant la fin août, voire début septembre. Mais quel régal pour les yeux et surtout pour le palais ! ces prunes se mangent aussi bien crues que cuites en tartes, compotes ou confitures. Et avec elles, la récolte est toujours facile à effectuer !


Poires

Dans la famille Williams...


Cette grande poire naquit en Angleterre au début du 19è siècle. Le nom de 'Bon Chrétien' (qui lui est encore parfois associé dans les catalogues) lui fut donné en référence à ses probables origines : il existait à l'époque de nombreuses variétés de 'Bon Chrétien'. Elle est arrivée en France en 1828. Cette petite poire jaune d'or a de grandes qualités : fertile et précoce, elle mûrit entre la mi-août et la mi-septembre. Sa chair, fine, fondante et juteuse possède une saveur légèrement musquée qui en fait l'une des meilleures poires en fin d'été. Elle se mange aussi bien crue que pochée, se transforme en sorbets et donne une eau-de-vie réputée. Mais notre 'Williams' d'origine a eu la bonne idée de donner une petite descendance...

- 'Williams Rouge', mutation rouge foncé, mêmes qualités que l'originale.

- 'Williams Duchesse', jaune, mûre entre octobre et novembre.

- 'Williams d'Hiver', gros fruits jaunes ; cueillie en octobre, elle atteint sa maturité en décembre.


- 'Delbard Précoce', obtention assez récente qui n'est pas une 'Williams' mais en a les qualités avec une précocité de près de 3 semaines.


Bien que très fertile, il est préférable l'accompagner d'une variété pollinisatrice complémentaire ('Beurré Hardy', 'Conférence' ou 'Delbard Précoce').


Les cordons horizontaux


Ces petits troncs inclinés à l'horizontale et garnis de courtes branches fructifères ont-ils encore leur place dans nos vergers ? Beaucoup pensent qu'ils s'agit d'une forme artificielle, d'une époque révolue. À vrai dire, les cordons n'ont pas été créés pour les vergers, mais davantage pour servir de bordure aux allées des vergers-potagers d'autrefois. Alors, pourquoi ne pas en installer dans votre jardin, le long du potager justement ou d'une allée fleurie bordée de buis taillés par exemple ?

Il existe deux types de cordons horizontaux, selon qu'ils possèdent un ou deux bras, mais le principe reste le même. Dans tous les cas, prévoyez un espacement de 2,50-3 m entre chaque plant, les bras des cordons doubles étant plus courts. Cette distance est importante, car si l'on plante trop serré, les arbres ne peuvent pas se développer assez et on doit pratiquez des tailles sévères qui limitent voire interdisent leur fructification. Il faut aussi prévoir une petite structure de palissage : un solide fil de fer tendu à la hauteur du bras horizontal et des poteaux-tuteurs plantés le long des troncs. Pour démarrer un cordon, vous avez le choix entre l'achat de formes toutes prêtes ou les former vous-mêmes à partir d'un scion.

dans ce dernier cas, vous devrez patientez trois ans avant de récolter les premiers fruits. Il faudra évidemment posséder quelques notions de taille fruitière classique pour obtenir chaque année une bonne fructification et garder au cordon sa silhouette originale.

Enfin ces cordons horizontaux sont réservés uniquement aux pommiers et poiriers, les arbres à noyaux ne supportent pas ce "traitement".

Curiosité

La griotte de la Toussaint

  

La floraison commence après celle des autres cerisiers et se perpétue aussi longtemps que la saison le permet. Elle a même tendance à ralentir quand il fait trop chaud ! L'arbre porte donc à la fois des fleurs et des fruits, qui se succèdent de juillet à novembre...  selon la douceur du climat (en région Ile-de-France, certaines années, il y en a encore pour la Noël) !

Mais il ne faut pas trop lui en demander. Les petits fruits acides (ce sont donc de vraies cerises), légèrement âpres. On l'appelle aussi griotte de la St-Martin (*), car cet arbre original n'en finit pas de mûrir ses fruits.  et bien juteux, sont surtout abondants entre juillet et août. Portés par un très long pédoncule, ils poussent à l'extrémité de rameaux grêle et retombants. L'arbre possède d'ailleurs le port pleureur typique des griottiers.


L'utilisation des fruits se limite toutefois à une macération dans de l'eau-de-vie car, même en clafoutis, ils se révèlent un peu... particuliers...


(*) selon les régions ; 'Cerisier Tardif', 'Cerisier des Quatre Saisons', 'Cerisier Acide Perpétuel', ou 'Toujours fleuri', qui est la traduction de son nom latin : Prunus cerasus 'Semperflorens'.

L'astuce


Prenez de l'avance


Si vous préparez les trous de plantation longtemps à l'avance, les arbres démarreront mieux et plus vite. Dès maintenant, creusez vos trous aux bonnes dimensions, ameublissez-en profondé-ment le fond en y incorporant le fumier et les engrais de fond.

Rebouchez-les aux deux tiers. Dans un mois, le sol, tassé comme il faut, aura retrouvé son équilibre. Il suffira de retirer la terre sur la hauteur nécessaire.














Il faut en moyenne 5 kg de noix

pour obtenir 2kg de cerneaux

qui, une fois pressés, donneront

1 litre d'huile.

Ce rendement (20% environ) est celui

d'un pressage à l'ancienne, tel qu'il est encore pratiqué dans certains petits moulins à huile, où l'on apporte ses cerneaux et repart avec son huile.

       5


Une pomme de bonne lignée


Si vous cherchez une bonne pomme pour la fin de l'été, essayez 'Elstar'. Elle fait partie de ces bonnes pommes modernes, appréciées par les jardiniers amateurs qui la dégustent aussi bien crue que cuite. Dans son ascendance, on trouve 'Golden' et 'Reinette de Cox'. Ses fruits récoltés en septembre se conservent jusqu'en novembre, dans de bonnes conditions. Leur robe jaune, striée de rouge est bien jolie ! Leur chair est à la fois croquante, aromatique, sucrée et acidulée. L'arbre, moyennement vigoureux, a un port semi-étalé, qu'il soit conduit en haute-tige ou en gobelet. C'est dans les régions de la moitié nord de la France et en moyenne altitude qu'il donnera le meilleur de lui-même.

  


Des noisetiers à gros fruits


Les amateurs apprécient les noisettes de gros calibre. Aussi bonnes que les petites avelines sauvages, elles offrent un rendement supérieur au cassage (compris entre 40 et 50%). Si vous décidez de cultiver ces belles variétés, vous devrez le faire à la façon des vergers professionnels, c'est-à-dire planter plusieurs variétés qui se polliniseront entre elles. Pour un bon rendement, prévoyez au moins trois variétés différentes. Par ailleurs ne plantez pas de touffes comme on le fait pour une haie. Vous auriez des fruits, mais en moindre quantité (et calibre). Vous devez absolument conduire ces noisetiers en gobelet bas sur tronc. Seuls ces gobelets assurent un renouvellement des branches, une bonne pollinisation et un ensoleillement correct des fruits. Ici commencent les difficultés pour les amateurs à qui l'on propose presque invariablement des touffes garnies de plusieurs troncs dès le collet. Très peu de pépiniéristes proposent d'emblée des boutures à tige unique prêtes à être formées en gobelet. Nous pensons néanmoins qu'il est possible de négocier un certain choix de plants en expliquant ce que l'on souhaite. En dernier recours, sélectionnez des touffes présentant une tige droite et plus vigoureuse que les autres. Supprimez les autres dès la plantation pour obtenir un tronc unique. 

Parmi les plus parfumées et sucrées...


'Fertile de Coutard' (ronde, coque épaisse) ;

'Ennis' (ronde, coque claire, très productive) ;

'Merveille de Bolwiller' (ronde conique à coque épaisse) ;

'Butler' (légèrement allongée) ;

'Bergeri' (allongée, coque tendre) ;

'Ségorbe' (ronde, très productive) ;

'Longue d'Espagne' (allongée, cylindrique, coque épaisse).

'Ennis'

'Elstar'

L'astuce


Conservez les châtaignes


De retour d'une promenade à la campagne, vous rapportez peut-être un bon panier de châtaignes. Pour en profiter tout l'hiver, commencez par les trier en éliminant celles qui sont véreuses (elles sont percées d'un petit trou). Faites sécher les autres deux ou trois jours, puis mettez celles qui restent dans un grand pot de grès dont on ne sait jamais quoi faire. Si vous n'en avez pas, une ancienne soupière en faïence munie de son couvercle fera l'affaire.

Bien enfermée et dans le noir elles ne se dessécheront pas.

Formez un cordon horizontal


Il faut partir d'un jeune scion, de préférence non ramifié. Plantez-le en orientant le point de greffe à l'opposé de la courbure à réaliser. Ce dernier point est fondamental. Dans le cas contraire, la greffe risque de s'arracher du porte-greffe. Tendez solidement le fil de fer, puis courbez lentement le scion de manière à en amener le bout à l'horizontale. L'idéal est de le travailler par temps humide (mais jamais quand il gèle). Cette courbure peut se faire en une seule fois, mais si vous craignez de de casser le scion, abaissez-le progressivement en le palissant sur un tuteur provisoire.

Débutez la récolte des coings


Au nord de la Loire, les coings finissent de mûrir. Il est bon de les récolter le plus tard possible, lorsqu'ils sont bien jaunes et parfumés, car une fois tombés de l'arbre, ils ne mûrissent plus et ne se conservent guère plus de deux semaines. Lorsque vous les ramassez, n'essuyez pas le duvet qui les protège et disposez-les dans des cageots, sur un lit de paille ou d'herbe sèche. Éliminez les fruits malades. Ensuite, vous pourrez en utiliser quelques-uns comme légumes cuits dans les tagines, avec toutes sortes de viandes et de volailles (pochez-les à l'eau bouillante pendant 15 mn avant de les incorporer au plat à cuire). Pour le reste, faites-en gelées, confitures et pâtes de fruits. Il existe également des recettes de vin, de liqueur et d'eau-de-vie parfumée aux coings.

  


Préparez les tuteurs


Indispensable compagnon de tout arbre fraîchement planté, le tuteur doit l'empêcher de bouger, de plier (et de casser !) sous l'effet du vent.

Cette immobilisation est indispensable pour l'enracinement. Le tuteur doit donc être assez solide et planté profondément afin de ne pas bouger lui-même. Choisissez-le assez long, pour qu'une fois en place, il arrive sous les branches charpentières.

Dans le commerce, vous trouverez facilement des tuteurs de châtaignier. Malgré la réputation de ce bois, la plupart des tuteurs qu'on en tire ne sont guère résistants. Aussi, devant rester en terre pendant deux ou trois ans, il sera prudent de le traiter pour qu'il ne pourrissent pas trop vite. La première chose à faire consiste à les écorcer soigneusement avec une plane de menuisier (*). Sinon, cette écorce se craquelle et devient un refuge pour les parasites.

Ensuite, traitez au moins la partie qui sera enterré avec un produit fongicide (bouillie bordelaise passé au pinceau, goudron ou tout autre produit de protection pour bois extérieur). Laissez bien sécher avant de les utiliser.

Dans certaines régions viticoles, on trouve des tuteurs en acacia. Ce sont les plus solides, et il est inutile de les traiter. Mais leur faible longueur (1,50 m) ne suffit pas pour les arbres-tiges.


(*) la plane est une sorte de rabot dont la lame épaisse est munie d'une poignée à chaque extrémité. Un couteau à deux manches en quelque sorte...


Semis sauvages

Conservez pépins et noyaux


Savez-vous que certains arbres fruitiers se reproduisent assez bien par semis ? C'est le cas des pêches dites de vigne et des pêches sanguines, des mirabelles, ainsi que de certaines reines-claudes. D'autres (bigarreaux, abricots...) donneront avec un peu de chance, des arbres aux fruits moins gros mais parfois aussi goûteux. Quant aux pépins (pommes, poires, coings...) ils offriront, en deux ans, d'excellents porte-greffes aux apprentis greffeurs. Du côté des fruits secs (noix, amandes, châtaignes, noisettes), le semis permet d'obtenir à bon compte des sujets vigoureux pour les haies ou le reboisement. C'est le moment de les rassembler et de les mettre à l'abri pour les semer plus tard. Pour les conservez dans de bonnes conditions, le plus simple est de les enfermer par espèce dans des bocaux remplis de sable légèrement humide.

 


Baies

Délicieuses liqueurs de prunelles


Le prunellier (Prunus spinosa), présent presque partout en France ou en Belgique, est un hôte familier des lisières forestières, des friches et des bois clairs. Si le fruit n'est plus guère consommé tel quel, il peut être utilisé pour faire de l'eau-de-vie. Ramassez environ 300 g de fruits après les premières gelées. Laissez-les tremper dans un pot rempli d'eau pendant trois semaines, en changeant l'eau trois fois. Récupérez les noyaux. Essuyez-les et cassez-les assez finement dans un mortier. Mettez-les dans un litre d'eau-de-vie et attendez trois mois pour filtrer et mettre en bouteilles. En ajoutant un sirop de sucre (750 g), on obtient une liqueur beaucoup plus douce.

 

'Thames Cross'

Stratification, dans du sable, des noyaux à semer...

en attendant les confitures.

  

EN BREF...

Prévention

Récoltez systématiquement les fruits "momifiés" restés accrochés aux branches (pommes, poires, coings, abricots) : ils peuvent être porteurs du champignon qui transmet la moniliose, maladie qui fait pourrir les fruits dans l'arbre. Après la récolte, il est conseillé de les brûler, puis de traiter les arbres atteints à la bouillie bordelaise.

Foires aux arbres

profitez des foires aux arbres de novembre pour dénicher des variétés adaptées à votre région. Vous y trouverez des arbres à racines nues, fraîchement arrachés et à bon prix. Vous pourrez choisir tranquillement et les replanter sans tarder. Ainsi ils n'auront pas souffert et repartiront à coup sûr au printemps.

Framboisiers

supprimez au ras du sol les tiges ayant fructifié ; vérifiez les fils, tuteurs et autres supports. Sur les variétés remon-tantes, palissez les tiges que vous conservez et qui fructifieront l'année prochaine.

Groseilliers et cassissiers

si vous devez les tailler, ne jetez pas les bois de taille. Conservez des rameaux de 15-20cm. Faites-en de petits fagots d'une douzaine de boutures que vous enterrerez complètement et horizontalement dans du sable, au pied d'un mur exposé au nord. À la fin de l'hiver, vous les ressortirez pour les repiquer en place, où elles formeront de nouvelles touffes.

  

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