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Carnets pratiques

Février au jardin

Les travaux au jardin bio


Le coin gourmand

S'il vous vient une envie de parcourir bois et prairies, voici de quoi agrémenter votre promenade tout en surprenant gastronomiquement vos convives : repérez, à l'orée des bois et sur les talus de mauvaises herbes, les belles fleurs jaunes des tussilages Tussilago farfara. Montées sur une tige épaisse de 4 à 7 cm, sans feuille, elles ne décevront pas vos attentes culinaires ! Prenez les fleurs entières, avec leur tige. Couchées sur un lit d'oignons dorés, laissez-les mijoter quelques minutes. Elles doivent rester fermes. Goûtez régulièrement pour déterminer le moment où elles sont cuites mais encore croquantes. Servez-les en accompagnements de riz ou d'une viande. À moins que vous ne préfériez en farcir de la pâte feuilletée confectionnée en chaussons...


Des salades sauvages


Chipez la bourse à Pasteur sans vous faire de mouron ! Guettez vos salades printanières parmi les premières "mauvaises herbes" du jardin : bourse à Pasteur, mouron des oiseaux, oseille, tussilage, pâquerette, plantain, cirse des marais, ail des ours, égopode, chénopode, et même cette petite peste de cardamine, qui se ressème à qui mieux mieux, mais dont la saveur, proche de celle de la roquette, rehaussera vos salades... Bon appétit !

tussilago farfara

Des épinards toute l'année


Dans l'océan Indien, on appelle "brèdes" tous les légumes dont on consomme les feuilles. Les brèdes ont pour vocation de servir de plat d'accompagnement, mais aussi de médicaments en raison de leurs vertus digestives. Chez nous, nous avons coutume de parler d'"épinard" pour la tétragone, la ficoïde glaciale, le chénopode Bon Henri et tout légume se savourant comme les vrais épinards. Pour disposer de verdure fraîche en début de saison, à consommer crue ou cuite, vous pouvez dès à présent semer quelques graines de tétragone cornue en godet. Au préalable, faites tremper les graines 24h dans l'eau, car leur enveloppe est dure. Affectionnant les terres légères et chaudes, offrez-leur un terreau sablonneux et une température proche de 25°C. Dans un mois, votre couche chaude ou votre serre seront prêts à accueillir les jeunes plants. Les feuilles triangulaires s'étaleront dans tous les sens sur un diamètre de 80cm par plant. Récolte : trois mois après le semis. En attendant continuez la récolte de l'épinard vrai. Vous sèmerez l'arroche en avril et la ficoïde en mai ; vous vous en régalerez jusqu'en automne.

la cardamine

bourse-à-pasteur

Pucerons et aleurodes


Luminosité réduite, fertilisation azotée peut-être un peu trop poussée pour la saison, atmosphère confinée et sèche... Autant de conditions favorables pour ces suceurs de sève. Les plantes d'intérieur de serre ou de véranda et les jeunes semis sont, en une année, envahis par plusieurs générations de ces insectes indésirables.

En lutte préventive, installez des coupelles d'eau entre vos bacs pour humidifier l'atmosphère.

Binez autour des plantes (une fourchette fera l'affaire pour les pots de petites tailles).

Aérez quelques heures en milieu de journée chaque fois que la température extérieure le permet.

En lutte directe, traitez avec une infusion de tanaisie, plante que vous trouverez en pharmacie et herboristerie (ou dans votre jardin). En cas de forte attaque, pulvérisez du pyrèthre ou de la roténone, une fois par semaine. Et n'oubliez pas les ennemis naturels à introduire : pour l'aleurode il s'agit de l'encarsia de Formose, une petite guêpe parasite de l'espèce. Mais une fois l'encarsia introduite plus question de pulvériser le moindre insecticide !

Quant aux pucerons, offrez à leurs hôtes une douche tiède, en veillant à bien exposer chaque feuille sous le jet.

aleurodes

Des nids vraiment au poil !


Les oiseaux se préoccupent de la construction de leur nid dès février, dont brindilles et herbes sèches constituent la base. La mousse est utilisée par de nombreuses espèces pour colmater l'extérieur du nid. Au jardin, ils prélèvent volontiers la mousse sur la pelouse, à condition que vous n'épandiez pas d'anti-mousse chimique.  Pour consolider l'intérieur du nid les oiseaux ajoutent du poil ou du crin. Ils en trouvent facilement à la campagne, mais plus difficilement dans les jardins de ville. Si vous possédez un animal de compagnie (chien, chat, lapin...) que vous brossez régulièrement, récupérez les poils et disposez-les ici où là dans le jardin, sur la clôture, par terre ou dans les arbustes. Les oiseaux sauront le trouver et en faire bon usage.  

Les vers de terre sont-ils vraiment utiles ?


Il en existe plusieurs espèces reconnaissable à leur couleur : les plus sombres préfèrent les couches superficielles du sol, les plus clairs élisent domicile en profondeur, parfois à plus de 3 m ! Les terres fertiles en accueillent un grand nombre : plus de 80/m² sur 30 cm de profondeur. Leur travail consiste à creuser des galeries dans le sol. Ils ingèrent de grandes quantité de matière organique, qu'ils digèrent. Ils vont et viennent, déposant en surface des petits "tortillons" de terre digérée. Lorsque le sol s'assèche en été, ils gagnent les profondeurs, et entrent en vie ralentie. Grâce à leur passage, la terre minérale a été transformée et enrichie en éléments assimilables par les plantes. Leur réseau de galeries a contribué à ameublir les sols en profondeur et a favorisé l'exploration racinaire des plantes. Encouragez donc vivement ces auxiliaires ! Ne traitez pas le sol avec des pesticides et évitez les engrais minéraux. Préférez des engrais organiques, n'hésitez pas à effectuer des paillages de surface ou des terreautages.

fleurs de cornus mas en mi-février à gauche


et ses fruits à droite

Précieux cornouiller mâle...


Le cornouiller mâle Cornus mas est l'un des premiers arbustes champêtres à fleurir, souvent dès la mi-février dans la moitié ouest de la France. Ses petites fleurs jaunes apparaissent bien avant les feuilles, nombreuses et régulièrement réparties sur l'arbuste. Cet arbuste favorise l'équilibre écologique du jardin. Les insectes butineurs et les auxiliaires y trouvent une nourriture lorsque les premiers rayons de soleil les sortent de leur torpeur. Dès le printemps, son feuillage abrite des acariens qui s'attaquent aux autres acariens suceurs de sève, aux pucerons et aux thrips. En août, les oiseaux raffolent des fruits, les cornouilles. cependant vous pouvez les cueillir avant eux, lorsqu'elles virent au rouge foncé, pour en faire confitures ou liqueurs.

Ce très bel arbuste croît assez lentement, mais c'est un atout pour limiter la corvée de taille. Il prospère dans les sols neutres à calcaires, de préférence au soleil. Plantez-le dans votre jardin dans une haie, en massif ou en isolé sur la pelouse.

EN BREF...


Semences de pommes de terre

Faites prégermer vos semences de pommes de terre avant de les planter en mars-avril. Placez-les dans une caissette remplie de sable humide, à l'abri de la lumière, à 12-15°C. Le départ des germes sera plus rapide. Dès qu'ils pointeront, sortez-les du sable et placez-les à la lumière afin qu'ils ne s'étiolent pas.


La mésange bleue, terreur des pucerons


De toutes les mésanges qui fréquentent les jardins (charbonnière, à longue queue, noire...), la mésange bleue est sans doute la plus efficace. Légère, vive, toujours affamée, elle n'a pas son pareil pour inspecter rosiers et arbres fruitiers jusqu'aux moindre brindilles pour y déloger les pucerons, les petites chenilles et les larves cachées dans les bourgeons et les crevasses des écorces. Au printemps, elle élimine les pucerons bien plus vite que les coccinelles ! Pour l'attirer dans votre jardin, installez un nichoir en bois imputrescible avec un trou d'entrée de 28 mm de diamètre.

  


L'hivernage des coccinelles


Il existe près de 3000 espèces de coccinelles, mais 90 seulement sillonnent la France. Comme tous les insectes, ce sont des animaux à sang-froid, leur activité diminue avec la baisse des températures. En automne, les adultes cherchent un lieu propice à l'hibernation et se regroupent. Vous pourrez peut-être les surprendre dans un tas de bois, un muret de pierre sèche ou les fissures d'un mur. Au cœur de l'hiver, elles sont totalement inactives.

Elles attendent le réchauffement printanier pour émerger et se reproduire. Malheureusement, dans les endroits un peu trop humides, elles sont fréquemment victimes d'un champignon, le Beauveria, qui peut anéantir plus de 50% des effectifs


Attention à la consommation des pesticides


La France occupe le 3e rang des pays consommateurs de pesticides (fongicides, insecticides et herbicides), derrière les États-Unis et le Japon. Cela donne au total quelque 70 000 tonnes de produits, distribués à 90% par l'agriculture (dont le maraîchage et l'arboriculture fruitière). Le reste est consommé par les collectivités et les jardiniers.

Aujourd'hui, plus de 50% des fruits récoltés sont contaminés à des taux variables, sans parler des rivières polluées à 90% et les nappes phréatiques à 60%.

alors, si vous en avez assez de manger et de répandre dans votre verger du méthomyl, du parathion... produisez vos fruits vous-mêmes, cherchez des solutions naturelles et écologiques pour les cultiver... et approvisionnez-vous dans les magasins bio !

L'ASTUCE


À propos de la permaculture potagère


Cette technique a été exposée en novembre et décembre... elle est utilisée aussi en Suisse et au Canada.

Ce mois-ci, voyons l'arrosage et la rotation des cultures.

Comment faut-il arroser ? L'un des avantages de la permaculture est de réduire l'arrosage au moment du repiquage. En principe, les semis n'ont pas besoin d'être arrosés puisque la couverture paillée reste en place. Si, dans des conditions extrêmes, un lit de semence se trouve "à sec", il faut arroser à la pomme (pour éviter de tasser le sol) juste avant de disposer les graines. Recouvrez et paillez. Pas d'arrosage ultérieur. De même pour les jeunes plants de fleurs ou de légumes tout juste repiqués : un arrosage, deux maximum en été.

Les cultures associées. Il est impératif de gérer la rotation et les associations des cultures pour que l'autofertilité du sol fonctionne. Par ailleurs reportez-vous bien à l'article de novembre, concernant la manière de récolter en laissant les parties souterraines dans le sol : c'est indispensable pour stimuler la vie micro et macrobienne. Les cultures associées réunissent deux ou plusieurs plantes sur une même parcelle, ce qui présente de multiples avantages :

Certaines espèces ont un effet bénéfique sur d'autres en favorisant leur croissance ou en éloignant certains parasites (légumineuses et légumes-feuilles).

Une meilleure occupation du sol en cultivant ensemble des plantes à systèmes racinaires différents (céleri-rave et chou-fleur).

Un gain de place et de travail de préparation du sol, en associant des végétaux à croissance rapide et d'autres à croissance lente (carottes et radis, chou et laitue).

La disposition des plantes peut-être réalisée sur une même ligne en mélangeant les graines (carottes et radis) ou en lignes alternées. En permaculture, les légumes sont installés en quinconce, et ceci participe, au même titre que la rotation des cultures, à la réussite de ce type de jardinage. Concrètement, et que vous cultiviez votre potager en permaculture ou non, semez sous châssis à la volée des carottes à forcer et des radis roses. Dès la levée vous comblerez les vides en y plantant des laitues. Vers la fin du mois, vous pourrez semez en pleine terre 2 ou 3 rangs de pois, installer entre elles des plants de salades, et au début de la récolte des pois (mai-juin), des plants de choux.

Toujours plus de pesticides


Selon la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), 52,1% des 3742 fruits et légumes analysés en 2007 contenaient des résidus de pesticides, contre 44,4% en 2006. Dans 7,6% des cas, ces doses dépassaient les limites maximales réglementaires. Les poivrons, les tomates, les laitues, les fraises, les mandarines et les raisins sont les plus concernés. À noter : 3,1% des produits biologiques testés étaient non conformes à la réglementation.

Et dire qu'il faut manger cinq fruits et légumes chaque jour pour préserver sa santé !

Semis en bac : les erreurs à éviter


Les semis d'intérieur, sur le rebord de la fenêtre ou dans une véranda, souvent générateurs de maladies cryptogamiques, donnent des plants chétifs, effilés, qui accueillent volontiers pucerons et aleurodes (mouches blanches). Et c'est logique !

Une plante forcée, hors de son contexte naturel, semée lorsque la luminosité journalière lui est insuffisante, est forcément fragile. Voici quelques conseils, non pas pour lutter contre le maladies éventuelles, mais, ce qui constitue la base même d'une culture biologique, pour abonder dans le sens de la vie.

Lors du semis, répartissez les graines régulièrement et évitez un semi dru, favorisant la fonte, due à un champignon.

Choisissez un terreau sain (neuf), soit un compost bien mûr mélangé à de la terre de jardin, soit un terreau du commerce. Pour un semis, il est inutile de rechercher une terre très riche, la réserve énergétique se trouvant dans la graine. Pour un repiquage, par contre, les jeunes plants ont besoin d'être bien nourris pour ne pas végéter. Si vous doutez de sa qualité sanitaire, passez-le à four doux (therm.2-3 150°C) pour le désinfecter. Une heure de ce traitement devrait suffire, attention à ne pas brûler la terre !

Évitez la proximité d'une source de chaleur et le soleil direct (derrière une vitre) si vous désirez des plants robustes.

L'aleurode apparaît dans une atmosphère desséchée : humidifiez quotidiennement votre local et non vos semis, au risque de favoriser l'apparition de champignons. S'il est trop tard pour prévenir, traitez avec un produit à base de pyrèthre, mais sachez que pour une bonne efficacité, il faut agir dès le début de l'invasion et, par la suite, toutes les semaines.

Une graine qui ne trouve pas sa température idéale pour germer, peut pourrir, si le sol est trop humide ou végéter longtemps. Les tomates, aubergines et melons nécessitent 18-20°C pour germer ; le céleri 15-18°C ; les choux et laitues 10-12°C (ce qui expliquent que ceux-ci réussissent rarement à l'intérieur). Mieux vaut les semer sous châssis, à l'extérieur.

En attendant le redoux


Une bonne organisation et des outils en bon état, permettent un gain de temps, d'efficacité et d'effort !

Si vous remettez toujours à plus tard l'entretien de vos outils, cette astuce vous est destinée : remplissez une grande caisse avec du sable et de l'huile de vidange. Fixez sur le côté une truelle plate de maçon. Après l'utilisation d'un outil, vous enlèverez le plus gros de la terre adhérant avec la truelle et piquerez la partie métallique dans le sable. Abrasif, celui-ci achèvera le nettoyage, tandis que l'huile de vidange protègera le métal.

Adoptez les tuteurs à tomates métalliques : torsadés, ils épargnent l'emploi de la ficelle et de ciseaux, toujours oubliés lors d'une inspection de ces légumes, puisqu'il suffit d'engager la tige principale au fur et à mesure de sa croissance. Contrairement au bois, le métal ne fixe pas les champignons ; à l'usage, il se couvre néanmoins d'une pellicule verte. Aussi, si vous êtes déjà équipés, songez à une désinfection à l'eau de Javel, pour disposer de piquets sains au mois de juin.


Vache folle et engrais organiques

La crise de la maladie de la vache folle a posé la question de l'emploi des engrais organiques animale au jardin. Ils proviennent des poissons (farine d'arêtes), des volailles et oiseaux marins (farine de plumes, guano) ou des ovins et bovins : corne torréfiée, sang desséché et poudre d'os. Tous ces engrais sont précieux pour leurs apports d'azote, de phosphore et de potasse. À l'heure actuelle, ils sont encore autorisés à la vente dans la mesure où ils répondent aux normes sanitaires (NFU 42001) et ne proviennent pas d'animaux malades. Par précaution, la plupart des distributeurs ont cessé de vendre de la poudre d'os depuis plusieurs années. L'utilisation au jardin de sang desséché est de moins en moins fréquente. Pour différentes raisons, certains jardiniers répugnent à l'employer. Plusieurs distributeurs l'ont enlevé de leur catalogue pour les mêmes raisons.

Restent donc des produits moins suspects : corne broyée et torréfiée (N : 10%)* ; farine de plumes (N : 10%) et d'arêtes de poisson (N : 5%, P : 25%) ; guano (N : 14%, P : 8%, K : 2%).

Les jardiniers qui ne souhaitent pas utiliser ces engrais organiques d'origine animale trouveront des engrais (organiques), d'origine végétale comme le tourteau de ricin** (N : 5,25%, P : 2%, K : 5%) ou la potasse organique (K : 40%).

 * N : azote, P : phosphore, K : potasse.

** attention à l'utilisation du tourteau de ricin, il contient de la ricine, poison dont on ne connait pas à l'heure actuelle d'antidote. Mettre hors de portée des enfants et des animaux domestiques : son odeur est alléchante pour les chiens et chats qui sont capables de le récupérer même enfoui.





TAILLEZ

groseilliers, cassissiers, noisetiers et cornouillers mâles (ces deux derniers sont en fleurs). Éliminez les pousses les plus anciennes et celles qui sont mal placées pour aérer les buissons et favoriser l’apparition de nouveaux rameaux.

PRÉPAREZ

les châssis chauds préparez-les en enlevant 20cm de terre que vous remplacerez par du fumier de cheval frais et bien homogène. Contrôlez la température pour démarrer les semis dès 22-25° C

NOURRISSEZ

les oiseaux avec vos pommes abimées, ainsi qu'avec des flocons d'avoine agglomérés dans du saindoux.

DÉMARREZ

le forçage des bulbes de cannas, lis, bégonias, en les plaçant sur un terreau humide bien exposé à la lumière.

SEMEZ

sous châssis : laitues, poireaux et chou-fleur ; et à l'intérieur, en bac, des tomates, aubergines et melons, basilic, poivrons...

La semaine précédant vos semis de tomates, aubergines... rentrez les godets de terreau, la terre sera réchauffée et la levée sera plus rapide.

CUEILLEZ

quelques branches de forsythia, d'hamamélis ou de lilas. Rentrez-les au chaud pour obtenir une floraison sous quinzaine.

REPIQUEZ

les oignons blancs semés en septembre dernier. Profitez-en pour inspectez la planche d'ail d'automne et enfoncez les caïeux déchaussés par le gel.

SURVEILLEZ

les prédateurs, les limaces qui adorent les jeunes semis ainsi que l'atmosphère chaude et humide des tunnels. Soulevez régulièrement les bâches et profitez-en pour sarcler.

FAUCHEZ

le seigle semé à l'automne dernier. Laissez cet engrais vert quelques jours sur le sol avant de l'enfouir par bêchage.

PRÉPAREZ

vos semis de tomates, basilic, poivrons... en rentrant la semaine précédente les godets de terreau dans la maison. La terre sera réchauffée et la levée sera plus rapide.

  

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