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EN BREF...

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C'est l'épaisseur (en centimètres) idéale d'un mulch de paille pour limiter le développement des "mauvaises herbes". Au préalable, épandez du compost mûr. Avec ce manteau de protection, votre sol sera nourri et préservé de la sécheresse. Si les mauvaises herbes parviennent à traverser le paillis, elles seront plus facile à arracher dans un sol meuble et humide.

  

Soignez vos tomates


Des fruits verts couverts de taches brunâtres irrégulières indiquent la présence du mildiou. cette maladie apparaît souvent en fin de saison, avec la pluie. Traitez dès à présent, préventivement et bâchez votre culture avant la fin du mois. Faites une pulvérisation de bouillie bordelaise, à deux reprises à 3 semaines d'intervalle. Ce produit à base de cuivre a inspiré certains jardiniers qui introduisent un fil de cuivre en travers de la tige. Le traitement est efficace, mais il semble que les fruits contiennent alors de l'oxyde de cuivre, nocif pour l'homme ! Une fertilisation folliaire avec du purin d'ortie très dilué (5%) aidera vos plants à mieux se défendre. Pulvérisez tous les 15 jours, "à la rosée" par temps couvert.

Une autre bonne protection, la mise sous housses, dès la fin juillet, des pieds de tomate... à moins d'installez une petite tente pour abriter plusieurs pieds à la fois.

Des solutions biologiques contre le doryphore ?


C'est un hôte (non invité) des pommes de terre, mais aussi des aubergines et des tomates. Affectant le rendement, il est moins présent lorsque l'on fertilise avec du compost bien décomposé et que l'on favorise ses ennemis naturels : les oiseaux, les petits mamifères, les lézards ainsi que certaines punaises.

Ramassez-le à la main, réduisez-le en cendres ou en purin que vous répandrez sur les plantes atteintes. Vous serez surpris du résultat ! En cas de forte attaque, pulvérisez ou poudrez les feuillages avec des algues (lithothamne) ou des poudres de roche, traitez au purin d'ortie : ces trois méthodes augmenteront la teneur en silice de vos plantes et les rendront moins attractives.

Vous pouvez aussi semez du ricin  près des pommes de terre, les doryphores sont attirés par le ricin et s'y empoisonneront...

La tanaisie a également un effet répulsif sur le doryphore, des pieds à proximité seront donc efficaces...

La gestion des "mauvaises herbes"


Elles ne méritent cette dénomination peu flatteuse que dans la mesure où elles font concurrence aux plantes cultivées pour l'eau, la nourriture ou la place ! S'il vous arrive d'être débordé par le travail au jardin, songez au dicton suivant : Une année d'herbes à graines, sept années de désherbages. Ceci non pour vous stresser davantage, mais pour situer les priorités. Rappelons quelques techniques simples qui permettent de les contrôler :

-faites toujours un compost qui chauffe bien : il détruit à la fois les racines des adventices vivaces et les graines des annuelles. Pour ce faire, montez bien votre tas en une seule fois, ajoutez des matières riches en azote, mouillez-le, couvrez-le et retournez-le au bout de trois semaines;

-pratiquez la technique du faux semis sur les planches à cultiver (voir l'astuce ci-contre);

-produisez vos plants en godets ou en pépinière, ainsi vous aaurez moins de travail;

-sarclez souvent : il est plus facile de détruire des herbes pas encore bien installées;

-cultivez de temps en temps des plantes nettoyantes comme les pommes de terre ou le seigle;

-pratiquez le mulching.

Des engrais bio maison


Les tomates tardent à mûrir, les capucines sont luxuriantes mais peu florifère, le gazon ternit et ne repousse pas dru : ce sont là des signes de "panne" d'azote ou de potassium ; rééquilibrez le sol avec des engrais de fabrication maison. Facilement réalisables, économiques à partir d'ingrédients récupérés, il suffit d'apprendre à bien choisir en fonction de l'effet désiré.

Le jus de plumes : riche en azote, il aide à la structure des tiges et poarticipe au développement du feuillage (aussi est-il indiqué pour les légumes feuilles : choux...). Il convient également aux plantes vertes d'intérieur (à raison de deux fois par mois), et aux gazons défraîchis. Si vous n'avez pas de volailles, guettez vos amis et voisins quand ils commencent à plumer les leurs ! Tuer toute une génération de jeunes poules lorsqu'elles sont prêtes pour la consommation est une opération courante depuis l'avènement du congélateur ; aussi ne devriez-vous pas rencontrer de difficultés pour trouver une bonne poignée de plumes.

Vous la mettrez dans un bac ou un seua rempli d'eau de pluie. Lestez les plumes avec des pierres pour éviter qu'elles ne flottent. Laissez macérer le tout à l'ombre. Le jus sera à point au bout de deux mois. C'est un engrais traditionnel en Chine, que vous pouvez éventuellement conserver filtré, dans un bocal hermétiquement clos, en cave, si vous le fabriquez hors saison.

Le purin de consoude : il favorise la formation des bulbes et tubercules, il agit sur la taille et la couleur des fleurs et des fruits. cet engrais est riche en potassium. On trouve la consoude en lisière des bois frais, au bord des prés et des chemins ombragés. Fauchez-la en début d'après-midi et laissez-la un peu sécher. Prévoyez 150 feuilles fanées par litre d'eau. La macération durant un mois , votre purin sera prêt en août pour donner un dernier coup de pouce à vos tomates.

Les cendres : si vous les gardez (elles sont riches en potassium et en calcium) stockez-les au sec pour conserver leur qualité fertilisante. Vous pourrez alors les incorporer au sol autour des légumes concernés.

L'eau de l'aquarium : si vous avez la chance d'en posséder un, ne jetez pas l'eau lorsque vous la changez : arrosez vos plantes avec.

Juillet au jardin

Le faux semis !

Préparez la planche à semer une bonne semaine à l'avance : griffage, ratissage, arrosage... comme si vous alliez semer, mais sans le faire. Réveillées par ces bons soins, les adventices vont germer. Prenez alors votre binette la plus large ou votre sarcloir et faites disparaître tout ce petit monde indésirable. Une fois le terrain nettoyé, vous pourrez semer vos graines !

L'astuce


Engrais verts contre mauvaises herbes


D'ici à deux mois, les mauvaises herbes auront envahi les parcelles laissées vides après les récoltes. Pour déjouer leur ardeur, couvrez le sol en semant de l'engrais vert. Il protègera de surcroît la terre des agressions climatiques (battance...), "travaillera" en profondeur grâce à ses racines et apportera des éléments fertilisants après son enfouissement. Choisissez une variété adaptée à la saison,  comme la moutarde ou la phacélie dont la croissance est rapide. Elles seront broyées et enfouies à l'automne. Vous pouvez aussi les laisser en place. Elles se transformeront en paillis sous l'effet du gel et se décomposeront progressivement durant l'hiver. Le seigle, lui résiste au gel et pousse dès que le temps est clément. Sa densité supprime toute velléité de pousse des adventices. Il se sème à partir d'août et jusqu'en septembre.


La tanaisie aux multiples usages


La tanaisie (Tanacetum vulgare) est une plante comme on les aime en jardinage bio : de culture facile, d'une élégante beauté, elle prend soin du jardinier... et du jardin ! Vous la reproduirez par semis ou par division de racines au printemps ou en automne, en lui réservant une place au soleil.

 A la cuisine, cette condimentaire confère aux préparations culinaires une légère amertume et un arôme poivré. Au Moyen-Âge, elle remplaçait les épices chères (muscade, cannelle...) pour parfumer crèmes, gâteaux, mais aussi omelettes, saucisses, poissons, vins, infusions et liqueurs ou autres "chartreuses" locales.

 Dans la maison, vous confectionnerez des bouquets antimites à suspendre dans les armoires à linge et partout dans la maison, y compris dans le panier du chien ou du chat pour chasser mouches et puces.

 

Au jardin, ses propriétés insectifuges vous combleront : à raison de 300g/10L d'eau de plante entière fraîche (ou de 30g/L de plante séchée), vous l'utiliserez, non diluée, en infusion contre les acariens sur les fraisiers, les fourmis, les noctuelles et les pucerons. Pulvérisez également la décoction de la tanaisie, toujours non diluée, contre la mouche du chou et le carposcape. Une pulvérisation sur des lis éloignera le criocère dévoreur de cette plante...


À noter que la tanaisie renferme une substance toxique. On ne doit donc pas en consommer et on doit se couvrir lors des pulvérisations. Aussi, les femmes enceintes doivent s'abstenir de manipuler cette plante et on ne doit jamais laisser une solution de tanaisie à la porter des enfants.

phacélie

moutarde blanche


Une "buvette" pour les animaux


Lors des journées d'été, les petits animaux doivent, comme les jardiniers, étancher leur soif. Si la rosée du matin fournit l'essentiel des besoins, cela ne suffit plus quand la canicule sévit. Lors des années torrides, comme en 2003, de nombreux animaux meurent de soif, en particulier les insectes, dont les auxiliaires.

Offrez-leur un point d'eau fraîche que vous changerez chaque jour afin d'éviter le développement de bactéries et d'algues. Choisissez un joli bain d'oiseaux, une cuvette ou une soucoupe à bord plat. Disposez en son milieu une pierre propre affleurante sur laquelle les animaux pourront se poser. Enfin, reliez la pierre au bord du récipient par une pêtite baguette ou une planchette : vous éviterez ainsi les noyades.                

consoude


Le lézard, un ogre au jardin


Lézarder au jardin, c'est un plaisir ! Mais apercevoir un lézard dans le jardin, c'est une chance, car ces petits reptiles se nourrissent d'insectes (mouches, criquets, chenilles...), de limaces et d'escargots, mais également d'araignées, de cloportes ou encore de lombrics.

Le lézard vert, très vorace et le plus gros de la famille, peut se permettre d'attraper des gros criquets et même des petits rongeurs. Grand amateur de soleil et de chaleur, il n'est présent qu'au sud de la Seine. Il vit dans les champs, en lisière des haies ou des bois et adopte volontiers les jardins de bio.

Le lézard des murailles fréquente les abords des ruines, les talus secs ou de vieux murs et murets qui lui ménagent des cachettes et des "plages" de chaleur exposées au soleil. Il est présent jusque dans le nord de la France. Acceuillez-les pour leur offrir un refuge hors des traitements chimiques et profiter de leur action favorable aux équilibres biologiques.


Utiles mauvaises herbes


Les herbes qualifiées de "mauvaises" ont pourtant des effets bénéfiques pour le jardin. Elles augmentent la diversité culturale, renseignent sur la qualité du sol et ramènent en surface, avec leurs racines, des éléments nutritifs du sous-sol. En désherbant, vous ferez provision de matière organique que vous pourrez recycler. En effet, certaines sont particulièrement utiles pour le compost, notamment la camomille, l'achillée, l'ortie, le pissenlit et la consoude. Mais avant de les composter, prenez la précaution de les laisser sécher au soleil quelques jours afin de supprimer tout risque de reprise.

consoude

pissenlit

camomille

Compost


Pensez à l'achillée millefeuille


Commune dans les prés, le bord des routes, les talus, l'achillée millefeuille (aux fines feuilles découpées) fait partie des simples, de ces herbes sauvages appréciées depuis des siècles pour leurs propriétés médicinales et aromatiques. Son pouvoir cicatrisant lui vaut le nom de saigne-nez ou d'herbe aux militaires. Ce n'est pas une mauvaise herbe, même si elle s'étend parfois dans les pelouses un poeu sèches.
Les petits insectes butineurs et auxiliaires apprécient sa longue floraison de mai à octobre. Les jardiniers aussi, qui l'utilisent pour dynamiser le tas de compost.

Prélevez quelques pieds dans la nature et installez-la dans les massifs du jardin d'ornement ; ses corymbes serrés de fleurettes en cappitules blancs ou rosés accompagneront harmonieusement les achillées horticoles et autres vivaces.

Bon à savoir : la macération des fleurs appliquée en pulvérisation renforce la résistance des plantes et améliore l'efficacité des fongicides.

Plongez 20g de fleurs sèchées dans 1L d'eau de pluie dans un seau en plastique ou en bois. Laissez macérer 24h et filtrez. Mélangez à 9L de bouillie fongicide (bouillie bordelaise, décoction de prêle ou de tanaisie...) et remuez pendant quelques minutes.

achillée 'The Beacon'

achillée millefeuille


Des tomates hautes en couleur


En juillet les soins aux tomates se résument à quelques geste qui prennent peu de temps. Une inspection hebdomadaire devrait suffire jusqu'à la récolte.


Laisser les gourmands ? Il est habituellement conseillé de supprimer les pousses secondaires qui naissent à l'aisselle des feuilles pour conduire la plante sur une seule tige (voir la page du jardin potager). Mais vous pouvez aussi tenter de laisser pousser deux ou trois pieds de tomates de variétrés différentes, sans vous en occuper. Laissez venir les gourmands, puis pincez -les au-dessus du premier bouquet de fleurs apparu, en laissant une feuille. N'enlevez les feuilles que là où elles sont trop denses, contrairement à la pratique qui consisteà "éclaircir" les plants pour laisser le soleil colorer les fruits. Vous obtiendrez des plants denses, productifs et sains. Au début, vous aurez sans doute un peu de mal à vous y retrouver dans cette végétation désordonnnée. Aidez-vous au moyen de quelques tuteurs supplémentaires et paillez la terre. Les plnats auront besoin de moins d'eau et les fruits proches du sol resteront propres. Cette pratique est particulièrement efficace pour les tomates-cerises.

Placez vos pieds de tomates entre deux rangs de choux. Leur odeur éloignera ce joli papillon qu'est la piéride du chou, toujours tentée de venir y pondre ses œufs.

Plantes compagnes : il est encore temps de faire pousser des plantes compagnes des tomates (moutarde, soucis, basilic...). Les tomates apprécieront, vous aussi ! Une salade de tomates aux feuilles de basilic et aux pétales de soucis est un vrai régal.

À vos graines : il existe de très nombreuses variétés de tomates de toutes les couleurs : rouge, orange, roses, jaunes et mêmes blanches ou violettes, voires vertes !

Profitez des vacances pour les découvrir chez d'autres jardiniers, faire des échanges et, pourquoi pas, récolter des graines. Il faut pour cela posséder des fruits bien mûrs. En les préparant en cuisine pour les goûter, il suffit de mettre les graines de côté et de les faire sécher.

En cultures associées, on plante traditionnellement des roses (ou des œillets) d'Inde de part et d'autre des tomates. Les roses d'Inde augmenteraient les récoltes de tomates.

tomates-cerises 'Sweet100'

roses d'Inde

basilic


Bouquets de légumes


Vous êtes débordé, vous revenez de vacances ou, simplement, vous avez laissé monter certains légumes à fleurs par curiosité, juste pour voir au moins une fois la plante entière dans son épanouissement ? Profitez-en pour faire des bouquets originaux, même s'ils sont éphémères. Parmi les légumes qui s'y prêtent le mieux, essayez les poireaux, les chicorées avec leurs fleurs bleues, les chrysanthèmes comestibles, l'arroche rouge, l'artichaut toujours spectaculaires, le cardon plus modeste, le chou-fleur (dont les variétés rouges), le brocoli, le fenouil et l'aneth, et, d'une manière générale, toutes les herbes condimentaires.

artichaut

poireau

fenouil

chicorée


Pommes de terre économique


S'il vous reste des pommes de terre qui ont formé leurs germes, surtout ne les jetez pas. Exposez-les quelques jours à la lumière (à l'ombre à l'extérieur) et plantez-les comme vous le feriez avec n'importe quelle semences prégermées. Votre récolte sera peut-être un peu plus tardive, mais aussi abondante.

  

L'astuce


Des fleurs à manger


Voici quelques fleurs comestibles et testées, pour agrémenter vos salades d'été, garnir vos crudités ou accompagner vos desserts. Cueillez-les tôt le matin, quand elles viennent d'éclore : violettes (Viola cornuta et tricolor) ; bourrache (avec ou sans les sépales duveteux) ; souci ; capucine ; tous les oeillets ; rose (les pétales) , lavande (en petites quantités du fait de leur amertume) et géraniums (pélargoniums) ; jeunes fleurs de courges ( à préparer en beignets).

Carnets pratiques

Les travaux au jardin biologique

CARTE ZONES





RÉCOLTEZ 
des plantes médicinales, les feuilles de sauge juste avant la floraison qui a lieu à la fin du mois et celles pour vos purins végétaux.

Ramassez-les avant que la rosée ne soit évaporée ; le matin des nuits les plus courtes de l'année, elles développent leurs propriétés au maximum.

DÉSHERBEZ
tôt en sarclant entre les plantes dès que les semis ont levés. Cela vous évitera des corvées de désherbage ultérieures.

SURVEILLEZ
les attaques de doryphores sur les pommes de terre.

ARRACHEZ
les bulbes d'ail par temps sec, lorsque les feuilles ont jauni.

EFFECTUEZ
un semis relais de plantes aromatiques annuelles du printemps car elles vont bientôt monter à graines (cerfeuil, coriandre, roquette) et les vivaces (ciboulette de Chine oseille...).

PAILLEZ
après chaque binage, vous n'aurez plus à sarcler, ni à désherber, voire à arroser de la saison.

PINCEZ
palissez et, si nécessaire, éclaircir les pêchers. Éliminez éventuellement les feuilles atteintes de cloque. En cas d'invasion de pucerons verts, traitez avec une préparation de purin d'orties.

SEMEZ
les légumes d'automne : épinards, navets, mâche... et les dernières carottes. Recouvrez-les d'une légère couche d'herbe sèche pour maintenir la fraîcheur.

des haricots après la récolte de pommes de terre nouvelles : comme le chou, ils enrichiront le sol en azote.

ARROSEZ
le tas de compost, tous les 15 jours, à fond durant l'été pour que le processus de décomposition ne soit pas interrompu.

SURVEILLEZ
l'état sanitaire de vos végétaux pour intervenir au plus vite avec les purins végétaux : la prêle contre l'oïdium, le mildiou, la cloque du pêcher et la tavelure; l'ail contre les acariens et les pucerons, la tanaisie contre les fourmis et les pucerons.

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La couverture du sol


La couverture du sol favorise son humidification, sa respiration et sa faune. Celle-ci transforme le mulching organique en substances nutritives qui se libèrent progressivement. Binage et désherbage s'en trouvent réduits.

Voici comment procéder.

Le mulching : un mot un peu savant (et anglais) qui signifie couvrir le sol avec des engrais verts fauchés avant leur montée à graines. En été, ces matières seront complètement absorbées et transformées par les organismes du sol en quelques semaines.

Le paillage : le matériau de couverture est différent. On utilise de la vieille paille, des tontes de gazon séchées, des écorces broyées, des feuilles mortes...selon le principe de la couverture du sol que l'on peut observer à l'état naturel, dans une forêt par exemple.