À L'ABRI
Orage le sens-tu sur les héliotropes
rentrons les tables et les chopes
arbres tirés par les canons
de Trianon
fraîcheur la brise
électrolyse mon bétail
il vient il vient
comme un Brummel tonnant derrière les linons
quelque chose d'une élégance extraordinaire
Mes nerfs Le ciel a un tic mauve
Rafale contre le vantail
Toutes les patrouilles se sauvent
La foudre amoureuse des granges
(Versailles 1916.)